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Questions classées dans : acoustique

Les bruits de canalisations peuvent être source d’agacement acoustique. PLADUR® vous propose des solutions adaptées à l’état actuel de vos installations.
Afin de vous orienter vers une solution, vous devez tout d’abord analyser votre installation.

Si la canalisation n’est pas située dans une gaine, il faudra en créer une tout autour.

En revanche si la canalisation est déjà située dans une gaine, son isolation mérite certainement d’être renforcée en y insérant si l’intervention est possible de la laine minérale ou alors en vissant une plaque de plâtre PLADUR® supplémentaire sur ses parois.

ATTENTION : dans les locaux humides (cuisine, salle de bains, WC, etc.), il faut utiliser des plaques PLADUR® de type H1.

>> Gaine technique PLADUR®

>> Ajout d’une plaque de plâtre PLADUR®

Il arrive parfois que l’on puisse être perturbé par des gênes sonores provoquées par nos voisins de palier (conversation, musique, bruit de pas, etc.). Le bruit est généralement porté par le mur, mais il peut aussi être transmis latéralement (par exemple les planchers ou les murs de façade) ou emprunter des voies parasites (prises électriques en vis-à-vis, gaines…).
PLADUR® dispose de solutions de plafonds, de cloisons et de contre-cloisons qui vous permettront d’améliorer votre confort acoustique.

Tout d’abord, il faut identifier le cheminement du bruit afin de savoir s’il est transmis à travers un mur ou une cloison séparative, un plancher continu, une façade, une toiture continue, etc.
Dans le cas d’une transmission par un mur en maçonnerie séparant deux logements ou d’une transmission par les façades, vous pouvez monter une contre cloison sur montants PLADUR® en y incorporant de la laine minérale. Cette intervention au niveau de la façade améliore aussi ses performances thermiques donnant droit aux aides financières sous certaines conditions.

S’il s’agit d’une transmission par une cloison en plaques de plâtre séparant deux logements, il faut ajouter une épaisseur de plaques de plâtre PLADUR® vissées dans le parement existant.

De même dans le cas d’une transmission par les toitures, après vérification de la capacité de l’ossature et des suspentes du plafond existant à supporter une nouvelle charge, vous pouvez visser une épaisseur supplémentaire de plaques de plâtre au plafond existant. En cas de doute, étudier la réalisation d’un plafond sans suspente fixé aux parois verticales.

>> Contre-cloison sur montant PLADUR®

>> Ajout d’une plaque de plâtre PLADUR® sur cloison ou plafond en plaque de plâtre

>> Plafond sans suspente PLADUR®

Les bruits provenant de l’extérieur (trafic routier ou conversation des passants) sont souvent sources d’inconfort. Pour les traiter, il faut agir sur différentes parties du bâtiment comme les murs de façade mais aussi et surtout les points les plus faibles de votre habitation en ce qui concerne la protection acoustique (baies vitrées, entrées d’air, coffres de volets roulants, conduits, défauts d’étanchéité à l’air…). Pour le traitement des murs de façade, PLADUR® dispose de solutions acoustiques qui vous permettront d’améliorer votre confort.
Pour l’isolation aux bruits au niveau des murs de façade, PLADUR® vous propose des solutions par l’intérieur.

>> Contre-cloison sur montant PLADUR®

>> Doublage thermo-acoustique PLADUR®

 

Il se peut que le confort acoustique de votre logement soit dégradé par des bruits provenant du logement d’en haut (bruit de pas, de meubles déplacés, etc.). PLADUR® dispose de solutions acoustiques qui vous permettront d’améliorer votre confort en réalisant un plafond sans-suspente.
À défaut de pouvoir agir au niveau du sol du voisin, la solution la plus efficace reste la réalisation d’un plafond sans suspente. Les sons étant transmis par les murs porteurs, il peut aussi être nécessaire d’agir sur ceux-ci en en réalisant une contre-cloison PLADUR®.

>> Plafond sans suspente PLADUR®

>> Contre-cloison sur montant PLADUR®

 

Le résultat d’isolement est influencé par les performances acoustiques de chaque élément de façade : le châssis vitrés, le(s) entrée(s) d’air, le(s) coffre(s) de volet roulants, le doublage thermique intérieur ou extérieur et la maçonnerie.

L’ensemble des axes routiers et ferroviaires font l’objet d’un classement sonore divisé en catégories qui vont de 1 à 5. La catégorie 1 est la plus bruyante et correspond à une autoroute ou un périphérique. La catégorie 5 correspond à une route peu passante en milieu rural.

Les objectifs réglementaire du bâtiment sont calculés par le maître d’œuvre acoustique à partir de ce classement sonore des voies de transports autour du bâtiment et des règles définies dans le texte du 23 juillet 2013 (distance séparant la(es) voie(s) du bâtiment, orientation du bâtiment, éventuels obstacles entre la voie et le bâtiment, etc.).

L’isolement vis-à-vis des bruits extérieur DnT,A,tr doit a minima être supérieur ou égal à 30 dB d’après la réglementation. Dans le cas les plus contraignants, l’objectif peut atteindre 45 dB.

La méthode la plus fiable pour évaluer la performance acoustique d’un appartement est de faire réaliser des mesures de diagnostic par un professionnel.

L’acousticien pourra notamment tester :

  • Les isolements aux bruits aériens DnT,A : entre circulation et logements, entre le logement et les autres logements superposés et côté à côte, entre le logement et un éventuel commerce/local d’activité en RdC, etc.)
  • Les niveaux de bruits de chocs LnT,w
  • L’isolation des façades vis-à-vis du bruit extérieur DnT,A,tr
  • Les niveaux de bruits d’équipements LnAT : ascenseur, VMC, chauffe-eau, etc.

Outils de mesures :

Il est souvent reproché à l’isolation acoustique de faire perdre de la place dans les pièces avec les épaisseurs de doublage.

Pour minimiser l’impact des doublages, il existe des solutions :

  • Utiliser des plaques phoniques qui sont avec des performances acoustiques équivalentes moins épaisses
  • Mutualiser les isolations acoustiques et thermiques avec des matériaux dits thermo-acoustiques
  • Faire intervenir un acousticien pour dimensionner les traitements (lui-même sera en mesure d’optimiser les traitements et de s’engager sur des résultats)

Les surfaces absorbantes (en plafond, mais aussi sur les murs ou au sol) contribuent à améliorer le confort acoustique dans une pièce en :

C’est un système qui consiste à réaliser une « coque acoustique » au sein d’une ou plusieurs pièces d’un bâtiment pour isoler cet espace du bruit en provenance des autres locaux et/ou protéger.

Le principe est décrit ci-dessous.

Selon les objectifs acoustiques du projet et des contraintes, différents types de dispositions constructives peuvent être prévues :

  • Le plafond isolant en plaque de plâtre peut par exemple être réalisé avec les suspentes anti-vibratiles élastomère ou ressort accroché au plafond haut. Dans certains cas, les plaques de plâtre ne sont pas accrochées au plancher haut, un système autoportant est mis en œuvre.
  • Les parois verticales de la « boite » peuvent être réalisées à base de contrecloison en plaque de plâtre ou de mur en maçonnerie type parpaings.
  • Le plancher bas de la « boite » est réalisé avec une chape flottante qui peut être mise sur une souscouche élastomère continue, sur des plots élastomère ou ressort.

Une grande attention doit être apportée aux traitements acoustiques des divers réseaux (ventilation, plomberie, électricité, etc.) et des détails de mise en œuvre.

On rencontre souvent ce genre de dispositifs sur les studios d’enregistrement / répétition, discothèques, salles de concert, théâtres, etc.

Le dimensionnement de ce type de solutions constructives nécessite des études de conception particulières.

 

Non, il n’y aura pas d’amélioration significative.

Pour être efficace, le doublage doit utiliser l’effet masse-ressort-masse. Il faut donc prévoir un système avec un isolant (type laine minérale ou autre) et travailler sur les systèmes de fixation pour modifier la raideur/souplesse du doublage.

Non, les plots de colle induisent des points de solidarisation entre la plaque de plâtre et la paroi doublée. L’effet masse-ressort-masse (et donc l’amélioration aux bruits aérien) est donc moins important que lorsque la plaque de plâtre est mise en œuvre sur un rail métallique désolidarisé.

 

Les bruits solidiens ont souvent pour origine de bruits de chocs sur le sol dans le local d’émission tels que des bruits de pas sur le sol, des enfants qui courent, des objets qui tombent, etc.

Il existe des solutions pour réduire les bruits de chocs tels que le remplacement des revêtements par des revêtements de sols justifiant des bons indices de réduction aux bruits de chocs Lw (sols souples, parquet sur sous-couche acoustique, carrelage sur sous-couche acoustique, chape acoustique, etc.). Il existe aussi la possibilité de traiter en sous-face de plancher avec des plafonds isolants.

Les bruits aériens peuvent avoir pour origine des bruits de conversation, télévision, radio, musique, etc.

Pour les traiter, des doublages de parois verticales ou horizontales, des chapes, des portes acoustiques, etc. peuvent être étudiés et envisagés.

Ces solutions doivent être étudiées au cas par cas par un professionnel qui saura identifier précisément les problématiques, les solutions adaptées, et le gain obtenu.

Non car les laines de verre et de roche ont des propriétés acoustiques assez proches pour ce type d’application. Toutefois, il est important de noter que pour que la performance acoustique soit garantie, la mise en œuvre doit être faite dans les mêmes conditions que le PV d’essai en laboratoire.

De manière générale, le matériau dans le plenum doit être absorbant.

Aussi, dans certains cas, il est possible d’utiliser des matériaux absorbants « écologiques » dit bio-sourcés (laine de chanvre, ouate de cellulose, etc.) en remplacement des laines minérales. Il faudra néanmoins vérifier que les performances acoustiques soient équivalentes et justifiées par des PV d’essais réalisés en laboratoires.

Par ailleurs, être vigilent aux contraintes autres qu’acoustique (feu, structure, thermique, etc.) que devra respecter le matériau.

La laine minérale dans un plenum permet de réduire les phénomènes de réflexion sonore, d’onde stationnaires et de résonance entre les deux parements parallèles.

L’ajout de laine minérale dans le plenum permet de gagner 4 à 10 dB sur l’indice d’affaiblissement global.

La laine minérale utilisée seule (sur un mur) ne possède pas de propriété d’isolation. C’est la combinaison des plaques de plâtre et de la laine dans le plenum qui confère l’isolation acoustique.

Non, les boites à œufs disposés sur un mur peuvent apporter de l’absorption (grâce aux alvéoles qui vont jouer le rôle de résonateurs et à la diffusion apportée en haute fréquences par les irrégularités) dans le local où elles sont placées mais ont un impact négligeable sur l’isolation entre deux locaux.

En raison de sa composition particulière, une plaque de plâtre PLADUR FONIC® apporte un gain de + 3 dB sur son indice d’affaiblissement par rapport à une plaque de plâtre traditionnelle.

Le niveau sonore étant exprimé en échelle logarithmique, un gain de 3 dB correspond donc à une réduction du bruit de 50 %.

 

Cela dépend de la période de construction et de la date du dépôt de permis de construire initial. Il est à noter que la France s’est dotée d’une réglementation acoustique pour les logements dès 1969. Les exigences acoustiques étaient naturellement moins contraignantes (5 à 10 dB) que celles de la NRA du 30 juin 1999.

Lorsque des opérations de réhabilitation sont menées sur un bâtiment de logements, la réglementation acoustique liée à la date de son permis de construire s’applique. Toutefois, dans le cas de réhabilitation lourde et/ou de changement d’affectation du bâtiment, il est généralement conseillé de viser les objectifs acoustiques du neuf. Il existe des jurisprudences en la matière.

Informations diverses sur les logements :

http://www.bruit.fr/tout-sur-les-bruits/logement-mal-isole/

La NRA (Nouvelle Réglementation Acoustique) du 30 juin 1999 fixe les objectifs réglementaires d’isolements aux bruits aériens DnT,A minimum suivants :

  • 53 dB entre deux logements
  • 40 dB entre une circulation et une pièce principale
  • 58 dB entre un local d’activité et un logement

Les niveaux de bruits de chocs L’nT,w dans les logements doivent être inférieurs ou égaux à 58 dB lorsque la machine à chocs est positionnée sur le sol dans un logement ou une circulation horizontale voisins

En acoustique, il existe une tolérance de mesures de 3 dB pour prendre en compte les incertitudes de mesures.

Cette tolérance s’applique sur les mesures de réception et ne doit en aucun cas être prise pendant la phase de conception.

Cela signifie que si le résultat d’isolement aux bruits aériens DnT,A mesuré sur site entre deux logements superposés est de 50 dB, la mesure est dite conforme avec tolérance puisque la réglementation demande un isolement minimum réglementaire de 53 dB.

Dans la réglementation acoustique française, les textes réglementaires fixent l’exigence de résultats et le maître d’œuvre dimensionne les moyens pour obtenir les résultats.

Par exemple, l’objectif réglementaire d’isolement aux bruits aériens réglementaire entre deux logements est de 53 dB. Le maître d’œuvre peut alors opter pour différents modes constructifs de son choix (béton, bois, métallique, etc.) qui auront donc des propriétés acoustiques diverses, mais il doit veiller à respecter les objectifs réglementaires

Un ouvrage est conforme à la réglementation acoustique si les mesures acoustiques in situ après travaux sont conformes aux exigences réglementaires.

Autrement dit, seule la réalisation de mesures acoustiques permet de savoir si le bâtiment est conforme ou pas

Le « pouvoir d’isolation » de certains systèmes constructifs suivent ce qu’on appelle l’effet masse-ressort-masse.

Les systèmes constructifs qui suivent cette loi sont :

  • Les cloisons sèches type PLADUR® 72/48, PLADUR® 98/48, etc.
  • Les doubles vitrages
  • Les doublages isolants à base de laine minérales ou polystyrène élastifiés rapportés sur un mur
  • Les panneaux double peau
  • Etc.

 

 

Le « pouvoir d’isolation » d’un matériau lourd suit une loi que l’on appelle la loi de masse.

L’indice d’affaiblissement global apporté par un matériau qui suit cette loi (béton, bois, plaque de plâtre simple, pierre, etc.) dépend de la masse surfacique ms et s’exprime de la manière suivante :

Cette loi peut être résumée de la manière suivante : « plus un matériau un lourd, plus il isole du bruit »

Ces deux notions sont souvent confondues, alors qu’elles ont une signification différente.

L’isolation acoustique caractérise le pouvoir d’atténuation des bruits entre deux locaux : elle vise à éviter la propagation du bruit d’un local vers l’autre.

L’absorption acoustique caractérise le pouvoir d’absorption des bruits à l’intérieur d’un local par l’ensemble des parois (sol, mur et plafond) et des éléments de mobiliers (fauteuils, rideaux, etc.).

Exemple :

L’objectif réglementaire d’isolement DnT,A entre deux logements est de 53 dB minimum.

Les mesures en laboratoires permettent de tester la performance acoustique d’un seul élément constructif tel qu’une porte, une cloison, etc.

Les conditions de mesures en laboratoire font donc que les transmissions latérales (via le plancher bas, le plancher haut, la façade, etc.) et transmissions parasites (trous, défaut d’étanchéité, etc.) sont inexistantes.

Lorsqu’on réalise des mesures in situ, il existe de nombreux chemins de transmission et différents éléments constructifs, qui font que le résultat obtenu est moins bon qu’en laboratoire.

Les calculs réalisés par l’acousticien prennent les transmissions latérales et parasites en compte.

L’indicateur Rw résume en une valeur la performance globale d’affaiblissement acoustique (ou le « pouvoir d’atténuation ») d’un élément constructif (cloison, porte, châssis vitré, etc.).

L’indicateur RA ou Rw+c (C étant un facteur correctif) caractérise la performance d’affaiblissement d’un élément constructif par rapport à un bruit rose à l’émission.

L’indicateur RAtr ou Rw+Ctr (Ctr étant un facteur correctif) caractérise la performance d’affaiblissement d’un élément constructif par rapport à un bruit routier à l’émission.

Ces données sont obtenues grâce à des mesures acoustiques réalisées en laboratoires.

L’indice d’affaiblissement acoustique s’exprime ainsi : R = 10 log (Ei / Et)

La fréquence s’exprime en Hertz (Hz) et traduit le nombre d’oscillations par seconde d’un signal.

La fréquence fondamentale d’un son caractérise sa hauteur ou sa note en musique. Le LA 440 est le la de référence utilisé en musique comme étalon, cela signifie qu’il s’agit d’un son avec 440 oscillations par seconde.

On parle aussi souvent de fréquence lorsque la répartition spectrale des graves, des médiums et des aigus d’un son ou d’un bruit.

L’oreille humaine est capable de percevoir des sons compris entre 20 Hz à 20 kHz

Les fréquences ont donc été décomposées en octave et tiers d’octaves.

Dans le bâtiment, on travaille essentiellement entre 63Hz et 8 kHz et par bande d’octaves.

Les performances d’absorption ou d’isolation acoustiques des matériaux dépendent toujours de la fréquence.

Les bruits chargés en basses fréquences (bruits de discothèque, équipements techniques, métro, etc.) sont plus difficiles à atténuer et contrôler d’un point de vue acoustique car les matériaux sont moins efficaces dans ces octaves (63, 125 et 250 Hz).

Exemple : Un béton de 20 cm apporte une « atténuation » (indice d’affaiblissement R) de 44 dB à 125 Hz et 66 dB à 1kHz

Echelle de niveau sonore global moyen

Oui, le niveau sonore induit par une source de bruit n’est pas forcément stable et peut varier

Il existe différents types de bruits :

 

Une onde acoustique se caractérise par la mise en vibration de l’air autour d’une position d’équilibre (pression atmosphérique = 1 Bar = 10Pa). Il n’y a pas de déplacement de matière, c’est un phénomène de propagation de proche en proche, avec création de zone de surpression et surpression

Le son parcourt 340 mètres chaque seconde dans l’air dans des conditions standards (la célérité du son dans l’eau est de 1500 m/s et de 6000 m/s environ dans l’acier).

La pression sonore s’exprime donc en Pascal [Pa] et l’oreille est capable d’entendre des sons variant entre 0,00002 Pa et 20 Pa.

Pour des raisons de manipulation des grandeurs physiqueset de perception de la sensation, il est d’usage d’exprimer le niveau de pression sonore Lp en décibel (dB) :

L’oreille humaine perçoit donc des sons variant entre 0 et 120 dB

 

Le son est à la fois un phénomène physique lié à la mise en vibration de l’air et une sensation perçue par les êtres vivants.

Un bruit est un son qui est jugé indésirable.

Le silence est dans son sens originel, l’état de la personne qui s’abstient de parler. Dans son sens actuellement le plus courant, c’est l’absence de bruit c’est-à-dire de sons indésirables.